FRANCE SOIR 14 mars
Editorial.
Il a fallu six ans pour découvrir que derrière le sourire de M.
Zapatero avait seulement un mauvais homme, mais les principaux
dirigeants européens connaissent déjà le président espagnol, qui donne
côté et envisager une politique nuisible pour l'Espagne et pour
l'Europe. En conséquence de ce sentiment, la présidence "de l'Union
espagnole étant le plus terne et marginalisés dans l'histoire de
l'Europe commune.
Le gouvernement allemand d'Angela Merkel est clairement pris ses
distances avec M. Zapatero, qui arrête régulièrement ses propositions,
le français Sarkozy, d'abord intrigué par l'optimisme de l'espagnol, a
dit "assez", collègues socialistes Gordon Brawn, Premier ministre
britannique, il craintes et estime que la proximité des dommages
Zapatero sa carrière déjà en déclin en tant que leader du Travail, M.
Berlusconi a rit tout simplement à son homologue espagnol, le
président permanente de la Belgique, Van Rompuy, incapable de
comprendre le leader espagnol et fatigué de leurs incertitudes et
astuces est caché et ne veux rien de lui.
Les Européens ont rejeté toutes les initiatives en cours qui Zapatero
a fait en tant que président du Temps, de ses prescriptions
économiques pour résoudre la crise, jusqu'à ce que leurs efforts
visant à lever les sanctions et les garanties de l'Europe démocratique
de la Chine et Cuba, sans parler de l'intérêt particulier Zapatero en
Turquie pour ouvrir les portes de l'Union européenne.
L'expérience européenne est une douleur et Zapatero le pire n'est pas
encore terminée parce que les principaux dirigeants européens ont déjà
été disqualifiés et ne sont pas prêts à soutenir leur folie.
Dans les couloirs de Bruxelles a déclaré que Mme Merkel, Sarkozy et
les autres présidents européens sont "indignés" par la mauvaise image
que donne M. Zapatero en tant que président de Time Europe, notamment
en matière de politique étrangère est particulièrement aigu lorsque
l'amitié et le soutien à Zapatero comme des dictateurs sanguinaires
qui écrasent le peuple de Cuba, l'Iran, le Venezuela et d'autres.
Le premier problème important en Europe Zapatero, qui a fait ses
débuts en tant que président de Time "a été le refus d'approuver un
projet de liste de sanctions pour les États membres qui n'ont pas
atteint les objectifs qui sont fixés en Europe. L'Allemagne a dit
"non" et considérée comme incompatible Zapatero entend mettre en ½uvre
en Europe qui a été en mesure d'appliquer en Espagne
Mais l'humiliation la plus cinglante, peut-être le pire en Europe a
effectué un virage, le président de son histoire, Zapatero avait à
supporter quand il a été exclu des négociations sur le plan de
sauvetage pour la Grèce et la photo finale, qui a été ce qu'il blessé.
J'ai demandé et même exigé, mais finalement apparu en public Angela
Merkel et Nicolas Sarkozy en France, avec Van Rompuy. Zapatero,
visiblement tendue et le visage hagard de rage, a dû comparaître seul
devant les médias.
Le rejet le plus récent est publié par de nombreux groupes européens
de la société civile contre le "trouble" document sur l'Internet que
la présidence espagnole de l'UE a fourni à ses partenaires de la
communauté. Personne ne veut l'Inquisition espagnole!, Cris La
Quadrature du Net, qui, dans un communiqué plainte urgente "dérive
obscurantiste de la présidence espagnole" et invité "pour s'opposer à
ce point de vue extrêmes et dangereuses."
Joaquín Almunia ne cache pas son mépris pour le leader espagnol dans
les conversations privées et publiques occasionnelles. Le commissaire
estime que, en vertu de Zapatero, l'économie espagnole n'a pas d'autre
choix que de l'effondrement. Pour Durao Barroso, jusqu'à récemment, un
fan de la socialiste espagnol, et tourne le dos et essayez de ne pas
apparaître à ses côtés.
Le dernier "coup" de l'Europe de Zapatero est récente, le 25 Février,
la Commission européenne, et visiblement contrarié parce que le
président du gouvernement espagnol ne tient pas compte des avis et
recommandations qui donnent les institutions et les experts ont averti
que la hausse de la TVA Zapatero a approuvé seront nuisibles et de
ralentir la sortie de la crise en Espagne.
En Espagne, un isolé ZP et têtu comme une mule, continue à se déplacer
vers l'abîme et la tête de ses gens ha ...
Zapatero avait seulement un mauvais homme, mais les principaux
dirigeants européens connaissent déjà le président espagnol, qui donne
côté et envisager une politique nuisible pour l'Espagne et pour
l'Europe. En conséquence de ce sentiment, la présidence "de l'Union
espagnole étant le plus terne et marginalisés dans l'histoire de
l'Europe commune.
Le gouvernement allemand d'Angela Merkel est clairement pris ses
distances avec M. Zapatero, qui arrête régulièrement ses propositions,
le français Sarkozy, d'abord intrigué par l'optimisme de l'espagnol, a
dit "assez", collègues socialistes Gordon Brawn, Premier ministre
britannique, il craintes et estime que la proximité des dommages
Zapatero sa carrière déjà en déclin en tant que leader du Travail, M.
Berlusconi a rit tout simplement à son homologue espagnol, le
président permanente de la Belgique, Van Rompuy, incapable de
comprendre le leader espagnol et fatigué de leurs incertitudes et
astuces est caché et ne veux rien de lui.
Les Européens ont rejeté toutes les initiatives en cours qui Zapatero
a fait en tant que président du Temps, de ses prescriptions
économiques pour résoudre la crise, jusqu'à ce que leurs efforts
visant à lever les sanctions et les garanties de l'Europe démocratique
de la Chine et Cuba, sans parler de l'intérêt particulier Zapatero en
Turquie pour ouvrir les portes de l'Union européenne.
L'expérience européenne est une douleur et Zapatero le pire n'est pas
encore terminée parce que les principaux dirigeants européens ont déjà
été disqualifiés et ne sont pas prêts à soutenir leur folie.
Dans les couloirs de Bruxelles a déclaré que Mme Merkel, Sarkozy et
les autres présidents européens sont "indignés" par la mauvaise image
que donne M. Zapatero en tant que président de Time Europe, notamment
en matière de politique étrangère est particulièrement aigu lorsque
l'amitié et le soutien à Zapatero comme des dictateurs sanguinaires
qui écrasent le peuple de Cuba, l'Iran, le Venezuela et d'autres.
Le premier problème important en Europe Zapatero, qui a fait ses
débuts en tant que président de Time "a été le refus d'approuver un
projet de liste de sanctions pour les États membres qui n'ont pas
atteint les objectifs qui sont fixés en Europe. L'Allemagne a dit
"non" et considérée comme incompatible Zapatero entend mettre en ½uvre
en Europe qui a été en mesure d'appliquer en Espagne
Mais l'humiliation la plus cinglante, peut-être le pire en Europe a
effectué un virage, le président de son histoire, Zapatero avait à
supporter quand il a été exclu des négociations sur le plan de
sauvetage pour la Grèce et la photo finale, qui a été ce qu'il blessé.
J'ai demandé et même exigé, mais finalement apparu en public Angela
Merkel et Nicolas Sarkozy en France, avec Van Rompuy. Zapatero,
visiblement tendue et le visage hagard de rage, a dû comparaître seul
devant les médias.
Le rejet le plus récent est publié par de nombreux groupes européens
de la société civile contre le "trouble" document sur l'Internet que
la présidence espagnole de l'UE a fourni à ses partenaires de la
communauté. Personne ne veut l'Inquisition espagnole!, Cris La
Quadrature du Net, qui, dans un communiqué plainte urgente "dérive
obscurantiste de la présidence espagnole" et invité "pour s'opposer à
ce point de vue extrêmes et dangereuses."
Joaquín Almunia ne cache pas son mépris pour le leader espagnol dans
les conversations privées et publiques occasionnelles. Le commissaire
estime que, en vertu de Zapatero, l'économie espagnole n'a pas d'autre
choix que de l'effondrement. Pour Durao Barroso, jusqu'à récemment, un
fan de la socialiste espagnol, et tourne le dos et essayez de ne pas
apparaître à ses côtés.
Le dernier "coup" de l'Europe de Zapatero est récente, le 25 Février,
la Commission européenne, et visiblement contrarié parce que le
président du gouvernement espagnol ne tient pas compte des avis et
recommandations qui donnent les institutions et les experts ont averti
que la hausse de la TVA Zapatero a approuvé seront nuisibles et de
ralentir la sortie de la crise en Espagne.
En Espagne, un isolé ZP et têtu comme une mule, continue à se déplacer
vers l'abîme et la tête de ses gens ha ...
Traducción:
El gobierno alemán de Ángela Merkel está claramente distanciado de Zapatero, al que frena sistemáticamente sus propuestas; el francés Sarkozy, cautivado en un principio por el optimismo del español, ha dicho basta; el también socialista Gordon Brown, le teme y cree que la cercanía de Zapatero perjudica su ya decadente carrera como líder laborista; Berlusconi, simplemente, se ríe de su colega español; el presidente permanente belga, Van Rompuy, incapaz de entender al líder español y cansado de sus indefiniciones y trucos, se esconde y no quiere saber nada de él.
Los europeos han rechazado todas las iniciativas destacadas que Zapatero ha presentado como presidente de turno, desde sus recetas económicas para afrontar la crisis, hasta sus iniciativas por levantar las sanciones y cautelas de la Europa democrática frente a China y Cuba, sin olvidar el interés especial de Zapatero por abrir a Turquía las puertas de la Unión Europea.
La experiencia europea de Zapatero está siendo un calvario y lo peor no ha pasado todavía porque los principales líderes europeos ya le han descalificado y no están dispuestos a soportar sus sandeces.
En los pasillos de Bruselas se comenta que Merkel, Sarkozy y otros presidentes europeos están indignados por la pésima imagen que Zapatero ha dado a Europa como presidente de turno, sobre todo en política exterior, donde es especialmente grave la amistad y apoyo de Zapatero a dictadores sanguinarios como los que aplastan a los pueblos de Cuba, Irán, Venezuela y otros.
El primer gran problema en Europa de Zapatero, que se estrenaba como presidente de turno, fue el rechazo al proyecto de aprobar un catálogo de sanciones para los Estados miembros que no cumplieran con los objetivos que se fijasen para Europa. Alemania dijo no y consideró incoherente que Zapatero pretenda aplicar en Europa lo que ha sido incapaz de aplicar en España.
Pero la humillación más hiriente, quizás la peor hecha por Europa a un presidente de turno en toda su historia, tuvo que padecerla Zapatero cuando fue excluido de la negociación del plan de rescate para Grecia y de la foto final, que fue lo que más le dolió. Lo pidió y hasta lo exigió, pero al final aparecieron en público Angela Merkel y el francés Nicolas Sarkozy, con Van Rompuy. Zapatero, visiblemente crispado y con el rostro demacrado por la rabia, tuvo que comparecer solo ante la prensa.
El mas reciente rechazo es el lanzado por numerosas asociaciones civiles europeas contra el inquietante documento sobre Internet que la presidencia española de la UE ha remitido a sus socios comunitarios.Nadie quiere la Inquisición española!, grita La Quadrature du Net, que, en un comunicado urgente, denuncia la deriva oscurantista de la presidencia española e invita a oponerse a esta visión extremista y peligrosa.
Joaquín Almunia no oculta su desprecio por el dirigente español en sus conversaciones privadas y en alguna que otra pública. El comisario cree que, bajo Zapatero, la economía española no tiene otra salida que el colapso. Hasta Durao Barroso, hasta hace poco un admirador del socialista español, ya le da la espalda y procura no aparecer a su lado.
La última puñalada de Europa a Zapatero es reciente: el 25 de febrero la Comisión Europea, ya visiblemente contrariada porque el presidente español no hace caso a los consejos y recomendaciones que le dan las instituciones y los expertos, advirtió que la subida del IVA aprobada por Zapatero será perjudicial y frenará la salida de la crisis en España.
En España, un ZP aislado y terco como una mula, continúa avanzando hacia el abismo y llevando a su pueblo hacia el desastre, acompañado por un PSOE esclavizado y tan adicto al poder que parece dispuesto a sacrificar todo, incluyendo a la propia España, con tal de no dar el brazo a torcer y desprenderse del inepto que mal-gobierna la nave.
Los españoles, sometidos a un régimen que ya no consideran que sea una democracia, se sienten frustrados, sin confianza en el liderazgo, con miedo al futuro, presos del sistema y sin capacidad para lograr que Zapatero dimita y convoque elecciones anticipadas, como debería hacer si tuviera dignidad.
Internacionalmente aislado, Zapatero es también rechazado por un Obama al que le preocupa la pérdida de credibilidad del dirigente español.
El presidente mulato de los Estados Unidos de América, antes admirado como un dios progresista, ya empieza a ser criticado entre los asesores de la Moncloa, mientras Zapatero sigue manteniendo la tesis suicida de que solo él tiene razón y que todos los demás están equivocados.
Sus únicos amigos en esta terrible coyuntura son los sindicatos, el degradado y sometido PSOE, la legión de los colocados y paniaguados que esquilman a diario las ubres del Estado y la multitud de fanáticos que la izquierda española ha reclutado en sus filas, tan cargados de odio contra la derecha que son incapaces de cuestionar a los suyos aunque hundan el país.
FRANCE-SOIR
El candidato amnésico
Sus propuestas, nada originales y oportunistas, representan el olvido de briznas de su pasado.
Las cuentas del gran capital
La pasta de Llamazares, con la brasa que nos da con los mercados, es para salir de casa con una bolsa en la cabeza. Visto lo visto, eso de “obrero” en las siglas del PSOE ha quedado sólo en un pintoresco chiste privado. Del patrimonio de Bono o de las inversiones del comunista, oye, ni un recuadrito en la prensa roja.____________________
El candidato amnésico
Sus propuestas, nada originales y oportunistas, representan el olvido de briznas de su pasado.
Las cuentas del gran capital
La pasta de Llamazares, con la brasa que nos da con los mercados, es para salir de casa con una bolsa en la cabeza. Visto lo visto, eso de “obrero” en las siglas del PSOE ha quedado sólo en un pintoresco chiste privado. Del patrimonio de Bono o de las inversiones del comunista, oye, ni un recuadrito en la prensa roja.
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